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Chroniques des reflexions de mon miroir

Quand les chroniques n'en sont pas

18 Février 2014 , Rédigé par Miss Miroir Publié dans #Miroir réfléchissant

En ce moment, j'écris peu. Déjà parce que je lis beaucoup, mais surtout parce que je n'arrive pas à fixer mon esprit sur un sujet qui soit à la fois intéressant, léger et drôle et qui puisse se finir bien (j'y tiens à mes fins optimistes)

J'aimerais écrire sur le difficile parcours du combattant pour trouver la paire de chaussures idéale, mais ayant le sentiment que ce n'est pas possible de trouver LA paire parfaite, j'ai tué ma chronique dans l'œuf.

J'aimerais écrire sur cette particularité française qui ne permet pas à chaque citoyen d'aimer son drapeau et son pays sans être assimilé au FN alors qu'aux USA par exemple, les familles des militaires arborent fièrement leur drapeau sur le perron en signe de soutien à leurs enfants ou conjoints partis défendre les valeurs de leur pays. Mais je crains la dérive politique des commentaires que ne manquera pas de susciter ma chronique, et je refuse d'injecter de la politique dans le monde du miroir.

J'aimerais écrire sur les belles surprises que vous pouvez avoir quand vous êtes au 3ème sous-sol, et qu' une main inattendue se propose de vous aider à remonter ou à adoucir votre séjour à la cave, mais le sujet me semble délicat quand je vois que d'autres découvrent, à l'inverse, que quand ils sont à la cave on les aiderait plutôt volontiers à descendre dans les égouts.

En ce moment, je m'auto-censure donc. Ou plutôt j'avorte les chroniques à leur état embryonnaire, puisque pour le moment personne ne me discute encore ce droit (encore un sujet que j’aurais aimé traiter mais là encore, de débat politique je ne veux point).

 

Et cette censure, je la dois à la future chronique de vendredi, celle à laquelle je réfléchis depuis quelques temps déjà. Elle me fait peur cette chronique, mais elle me rend impatiente aussi. Elle me parasite le cerveau, elle est toujours là, en arrière-fond cérébral, et je n’ai qu’elle en tête. Elle est le détail non-souhaité sur la belle photo que vous essayez de prendre désespérément.

 

Mille excuses pour cette absence improvisée, vendredi, promis, les chroniques reviendront.

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